Titre original : The housemaid
Traduction : Karine Forestier

A sa sortie de prison, et sans travail, Millie, à 27 ans, vit dans sa vieille voiture. Aux abois, elle postule chez une richissime dame prête à l’engager. Millie est ravie même si elle doit dormir dans un minuscule cagibi meublé d’un mince lit de camp et doté d’un verrou à l’extérieur de sa porte.
Son employeure, Nina, est une grosse dondon avec un Andrew de mari hyper sexy et une fllle, Cecelia, d’emblée hostile à Millie et toujours vêtue de robes à dentelles démodées. Il y a encore un jardinier qui semble vouloir avertir Millie d’un « pericolo ».
Au fil des jours, Millie est troublée : la maison est chaque jour d’une saleté inimaginable, Nina prétend avoir dit ce qu’elle n’avait jamais dit et vice versa. Seul Andrew paraît normal,t avenant et même pluôt arriré par la belle Millie.
Une histoire où les apparences sont tout ce qu’il y a de trompeur, où vous irez de surprises en surprises, et c’est déjà une raison de s’y précipiter mais en plus ce livre se termine de façon percutante ce qui est assez rare pour être signalé.
Bon il y a bien un petit côté excessif, un peu trop de coïncidences inespérables, mais si vous êtes prêts à un zeste de naïveté, vous verrez, ce roman est absolument jubilatoire