
Elliot, 14 ans, pénètre dans le cabinet du psychanalyste et, sous la contrainte d’un fusil, l’oblige à se menotter et surtout à l’écouter. Car Elliot ne comprend ni n’accepte le suicide de son frère adoré. Submergé par la colère, le tourment, le remords de n’avoir rien compris, rien empêché, il défoule sa haine sur le psychanalyste qui a reçu son frère à quelques reprises et aurait donc dû empêcher ce suicide
Elliot, cet enfant surdoué qui en connaît trop sur le Mal à l’oeuvre dans le monde, va forcer le psychanalyste à écouter ce que deux jeunes, proches de son frère, perpétraient comme horreurs,. Un récit insoutenable, propre à rendre fou
La parole est au coeur de ce huis-clos, mais Elliot l’utilise et la rabaisse à n’être qu’une parole-image, une parole qui comme l’image, saisit au col, entraîne et contraint, abolissant ce recul propre au discours
Une parole devenue arme de destruction
Un roman machiavélique, redoutablement intelligent mais dont hélas, la fin s’étire et s’épuise telle un ballon qui se dégonfle
Quelle dommage que tu aies trouvé la fin ratée.
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Mais tu sais ce livre possède une force, une telle puissance diabolique que
c’était presqu’impossible de conclure
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En fait je ne sais pas si je dois recommander ce livre ou non parce qu’il est aussi odieux que génial ( et à vrai dire cette fin assez fade s’oublie )
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C’est dommage car je trouve le sujet intéressant. Merci pour ce joli retour Hedwige, je te souhaite une belle journée 🙂
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